Vous vous demandez « ce que ça mange en hiver » de la recherche au bénéfice des collectivités? Eh bien, je fais le pari que nous allons répondre à cette question ensemble!
Chez Sociopol, nous adoooorons collaborer avec nos partenaires, partenaires qui sont généralement des personnes engagées dans leur communauté par le biais d’un organisme sans bu lucratifs ou d’une instance publique ou du bénévolat. Nous apprécions la collaboration du fait que nous sommes curieux et que, souvent, nous sommes projetés devant unesituation problématique dont l’issue parait incertaine. Quelle chance : ne pas comprendre et se trouver en face de quelqu’un qui, comme nous, souhaite comprendre un peu plus le monde qui l’entoure!
Mais ce n’est pas tout de vouloir comprendre, encore faut-il que la problématique de départ soit bien formulée. Nous posons alors plein de questions. Et nous cherchons à apprendre, même dans les silences. Mais nous n’inventons rien : nos partenaires travaillent (oui! Oui!) avec nous. Ensemble, par des échanges bienveillants et informés, nous sommes plus à même de distinguer les sommets atteints (« ce qu’on sait qu’on sait ») des sommets à gravir (« ce qu’on sait qu’on ne sait pas »). Et parfois, face à des paysages incongrus dont la voie à prendre n’est pas évidente (« ce qu’on ne sait pas qu’on ne sait pas »), nous parvenons à cibler un point de chute à l’horizon.
Ainsi, peu à peu, nous traçons les conditions permettant à nos partenaires de tendre vers l’horizon visé. En général, ces conditions renvoient à des activités de coplanification, de dialogue et de coconstruction. Elles renvoient également à la production, la diffusion et le partage de connaissances. De même, les collaborations permettent de poser un regard différent sur ce que nous sommes est en train de faire. En faisant de la recherche sociale au bénéfice des collectifs, nous aidons nos partenaires à tracer leur propre voie. Nous marchons également avec eux jusqu’à aiguiser leur regard et percevoir de nouvelles manières d’intervenir sur leur environnement.
Souvent, nous transigeons avec des savoirs collectifs, soit des savoirs d’origines multiples et que nous cherchons à concilier. Ces savoirs englobent des connaissances plus théoriques, mais aussi des savoirs-être et des savoir-faire. De même, ces savoirs sont mobilisés en vue d’une prise en charge citoyenne et d’une contribution, aussi mince soit-elle, à plus de justice sociale.
Nous avons encore beaucoup à apprendre sur la manière dont nous pouvons collectivement mieux cibler les changements sociaux à opérer et mieux mobiliser les savoirs pour y parvenir. Êtes-vous prêt à nous accompagner dans cette voie?
Et vous, à quel changement cherchez-vous à contribuer? Avez-vous réuni toutes les conditions pour y parvenir?
